À toi Georges,
J'étais en train d'écrire un petit compte-rendu de cette superbe soirée des Rois lorsque le téléphone sonna pour m'annoncer la triste nouvelle; Georges s'en est allé… Aussi je dédis ce modeste compte-rendu à notre ami Georges.
La nouvelle année est bien là, et avec elle la traditionnelle galette des Rois en compagnie de nos moitiés et son diner alsacien. Presque tout le monde est là, Georges en vacances au bord de la mer, Ludo, Christian V et Philippe W vaquant à d'autres occupations. De plus nous avons le plaisir d'accueillir notre super IRO de région (et du monde entier d'ailleurs) Philippe accompagné de son épouse.
Tout commence autour d'un verre qui permet à chacun de transmettre ses bons vœux. Après ces quelques verres de l'amitié bien mérités, nous descendons vers les entrailles de la ferme où se trouvent multiples ripailles alsaciennes accompagnées de breuvage adequat.
Notre grand grand grand Président (par l'aura, pas la taille) s'en élance de son premier discours de l'année au cours du quel, il nous rappelle ses trois axes d'actions qui sont en bonne voie :
- Les 10 ans du club, déjà fêtés en partie et dont le week-end spécial s'organise
- Le recrutement à continuer, bienvenu à Antony
- La renaissance de la table Ronde d'Annemasse, auquel s'attelle la compagnie Brasier & fils (& cousin).
Il nous transmet également un petit message de notre ami Georges.
Comme d'habitude Rachel et Didier se sont plus que décarcassés et nous ont concocté une spécialité alsacienne dont ils ont le secret.
Bien après fort remplissage de gosier par ces mets succulents accompagnés de leurs dignes boissons, vint le moment des galettes qui élurent plusieurs rois et reines (tiré(e)s ou pas…).
Mais il est déjà 1h30 et ils nous faut bien tous, à regret, retourner dans nos pénates. Cette soirée comme celle de l'année dernière et des années précédentes restera gravée dans nos mémoire.
Encore une fois un très grand merci à Rachel et Didier. Prochaine réunion statutaire, le 20 janvier prochain à la Renfile
En hommage à notre Georges, une petite pensée comme le dit si bien la chanson "Les copains d'abord" de son homonyme (Brassens) :
"Au rendez-vous des bons copains,
Y'avait pas souvent de lapins,
Quand l'un d'entre eux manquait a bord,
C'est qu'il était mort.
Oui, mais jamais, au grand jamais,
Son trou dans l'eau n'se refermait,
Cent ans après,
coquin de sort !Il manquait encor..."
Un secrétaire bien triste