Voilà les vacances sont terminées, c’est la rentrée des classes et tous nos écoliers 41 sont là ou presque.
La rentée s’effectue chez Popol, établissement « scolaire » bien connu pour ses repas savoyards et son jus de raisin interdit aux enfants.
Pour un coup, tout le monde est à peu près à l’heure. Les cours peuvent donc commencer.
En effet, ne manquent à l’appel que trois d’entre nous. Le maître (Serge) attend les certificats d’absence.
Mais en cette rentrée de classe, nous avons déjà la visite d’un inspecteur : Jean-Luc (ex secrétaire national) qui nous arrive tout droit de Beaune. Malheureusement, il n’a pu acheter le bon comportement de la classe, ne s’étant pas prémunis de ces délicieux breuvages de sa région. Déjà un mauvais point qui mérite presque le coin.
Première leçon, l’apéro. Apparemment personne n’a perdu la main, donc c’est encourageant pour la suite.
Notre responsable de classe (de protocole) nous a remémoré la célèbre passation camarguaise et son très malheureux oubli d’encenser celui qui gère les tickets pour la cantine, notre trésorier sortant Pascal.
Nous voilà tous parti pour le cours suivant, le repas. Tout le monde s’installe, retrouve son assiette et ses couverts et puis la fondue au beau lait appréciée de tout le monde, même si un mauvais élève a tenté déjà de mettre le feu à la classe, mais l’intendant intervint rapidement et maitrisa le feu.
C’est alors que le maître parti pour son long discours dont j’ai oublié le contenu (désolé, je suis un élève distrait).
Comme tout le monde à bien travaillé, un dessert nous fut promis. Bien sûr, ça n’a pas été facile, car déjà il fallu compter les mousses au chocolat, mais sachant que le nombre de mousse désirée divisé par le nombre de mousse disponible était inférieur à un, il y eu pas mal d’échec dans le choix des desserts. On fera mieux la prochaine fois.
Un petit alcool des lieux pour oublier tout ça et c’est parti pour les boules. Mais déjà, on voit ceux qui ne veulent pas faire de sport et qui s’éclipsent gentiment dans la nuit.
Comme toujours, il y a les théoriciens de la boule, ceux qui calculent les trajectoires à partir de quelques équations de physique dans un coin de leur tête, et les autres qui visent au hasard et qui finalement arrivent au même résultat.
Il est déjà plus d’une heure et la fin de cette première journée de classe s’achève.
Prochaine interrogation, le 17 septembre à la ferme.
A bientôt
Pascal
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire